C’est une méthode pédagogique qui développe la perception des différents mouvements corporels dans une optique de rééducation, de bien-être ou d’amélioration de la performance gestuelle. Proche du courant de l’éducation somatique (Body and Self Awarness)

Aujourd'hui des cohortes de chercheurs démontrent chaque jour un peu plus l'importance de l'alimentation par rapport à notre santé au sens large. Il se trouve par ailleurs que les impératifs écologiques de demain passent dés aujourd'hui par un changement de comportement de tous et notamment par un changement de comportement alimentaire ainsi que le montre la très belle étude publiée récemment dans "the Lancet" .

K-PS est une formation en kiné du sport unique : un programme créé par des kinés du sport et préparateurs physiques de clubs professionnels, des enseignants experts. Découvrez l’expérience exigée dans les staffs ! « Du suivi d’équipe de rugby amateur, en parallèle de mes études à l’IFMK de Rennes

Les fascias sont des éléments du tissu conjonctif qui ont de nombreuses fonctions. Ils permettent le soutien des principaux organes, entourent les faisceaux musculaires pour assurer leurs contactions et protègent les structures du corps en absorbant les chocs. Ils assurent les connexions entre tous les éléments structuraux corporels.

Issue des médecines traditionnelles chinoise (MTC) et africaine, la méthode consiste en l'application de « ventouses » (flacons de verre chauffés ou en plastique activés par des pompes) sur les secteurs douloureux (muscles ou tendons) ou certaines zones réflexes.

Se former sur l’acupuncture, un axe à développer chez les kinésithérapeutes. Face à la douleur, les approches sont souvent multi-disciplinaires. Une des techniques mise à disposition du kinésithérapeute, en complément de ses traitements est l’acupuncture. Cet article basé sur les rappels physiologiques et les principes vous amènera à vous poser la question : dois-je aller plus loin et me former pour apporter une piste de traitement supplémentaire à mon patient ?

La difficulté première lorsque l’on veut soigner un patient c’est, après avoir écouté sa(ses) plainte(s), d’abord d’établir un diagnostic qui découlera de nos observations cliniques pour ensuite mettre en place un traitement espéré salvateur. Pour cela il faut savoir dépasser le symptôme, la région souffrante, voir au delà, voir l’individu dans sa globalité et tâcher ensuite de le ramener au plus proche de sa normalité, de sa physiologie en essayant de régler TOUS les désordres constatés afin que le TOUT fonctionne à nouveau librement