Les kinésithérapeutes sont les premiers acteurs de l’analyse du mouvement. Tous les jours en kinésithérapie nous observons les mouvements de nos patients afin de mieux comprendre les faiblesses et cibler la meilleure approche thérapeutique. Les évaluations se veulent reproductibles et sensibles, mais dans la pratique nous ne sommes pas suffisamment armés pour procéder à des évaluations régulières, objectives, et quantifiées du mouvement

L'échographie musculo-squelettique (MSK) à l'usage du kinésithérapeute offre une perspective passionnante en kinésithérapie. Cette technique d'imagerie échoscopique est une prolongation du bilan clinique permettant d'approfondir l?exploration fonctionnelle, d'établir une stratégie de soin et de suivre l'évolution et les résultats du traitement kinésithérapique.

Traditionnellement le mois de décembre est le mois de la préparation aux activités d'hiver. Après avoir réservé votre séjour au ski, conseillé vos patients sur la préparation adéquate afin de ne pas se blesser dès la première session, vient l'heure des conseils « techniques » sur l'activité et son matériel.

Dans l'article précédent, nous avons évoqué le rôle de barrière de protection de la peau (barrière physique de protection, barrière microbiologique et barrière anti-UV). Mais cet organe complexe, polyvalent, possède bien d'autres propriétés, toutes aussi indispensables à notre vie. Leur connaissance ne peut qu'être utile au kinésithérapeute dans son exercice quotidien. Nous allons les découvrir maintenant.

Lorsque la variabilité devient harmonieuse, prévisible, puissante, on parle de cohérence cardiaque. Grâce à la respiration avec un rythme d'inspiration et d'expiration à cinq secondes, soit six respirations complètes par minute, on obtient une fréquence de résonance coeur-poumon qui met en équilibre les systèmes sympathique et parasympathique. Cette fréquence est valable pour tous et nous conduit en principe vers plus de cohérence... 

La voix est une des interfaces de gestion de ces deux univers : le monde interne et externe. Elle raconte en permanence où en est l’individu dans ses différentes strates de fonctionnement. Au niveau central : elle prépare le sens, la répartition musculaire, les mots, les inflexions, la puissance, les hauteurs, qui vont se traduire sur un fond de projet imaginaire et d’ampleur de l’efficacité à obtenir en parlant ou chantant. Ces phénomènes s’adaptent à l’environnement externe mais aussi et surtout à la vision de soi consciente et inconsciente.

De plus, celui-ci, en étant parfois le premier à déceler d’éventuelles anomalies cutanées, en particulier des tumeurs, peut se révéler un allié précieux pour le dermatologue. Cet article est le premier d’une série qui va nous amener à découvrir en profondeur la peau et ses fonctions, comme organe vasculaire par exemple si important pour le kiné. Le développement va donc permettre de comprendre pourquoi le kiné a un rôle important dans le dépistage des dermatoses et tumeurs cutanées.

Ce deuxième article décode plus précisément ce qu'est la visualisation mentale appliquée à la guérison. Qu’est-ce que la visualisation mentale ? 12 La visualisation est la capacité mentale que nous avons de nous représenter un objet, un son, une situation, une émotion ou une sensation. Selon son intensité, cette représentation peut déclencher plus ou moins les mêmes effets physiologiques que le ferait la réalité. La visualisation mentale est utilisée dans le domaine sportif, cela fait partie de l’entrainement de tout athlète de haut-niveau.    

Après les épreuves de l’annonce, des traitements (radiothérapie, chimiothérapie et/ou hormonothérapie) et de l’ablation d’un ou deux seins, la reconstruction est autant physique qu’émotionnelle. Bouleversées par ces étapes, beaucoup de femmes abandonnent avant la fin et ne vont pas jusqu’au bout de la reconstruction

J’ai subi le 5 novembre 2015 une opération de la jambe gauche. L’éveinage initialement prévu s’est compliqué en hémorragie, thrombose, pontage d’une autre veine avec une période de convalescence et de rééducation plus longue que prévue. J’ai tout de suite pensé aux cours de neurosciences que j’avais suivis pendant ma formation de coach et j’ai trouvé là l’opportunité de tester sur moi la visualisation mentale visant à permettre une accélération de la récupération du sportif.